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Pensées du jour, te...
 
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Pensées du jour, texte et auteur inconnu,

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chouky
(@chouky)
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Auteur du sujet  

Un câlin, c'est détacher un petit bout de soi pour le donner à l'autre pour qu'il puisse continuer son chemin moins seul...

Il est difficile d'attraper un chat noir dans une pièce sombre, surtout lorsqu'il n'y est pas.
Proverbe chinois
Chouky


   
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chouky
(@chouky)
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Auteur du sujet  

"— Papa, tu me promets que tu ne te fâcheras pas si je te dis quelque chose ?

— Dis-moi, mon cœur.

— Non, promets-le-moi d’abord.

— D’accord, je te le promets. Je ne me fâcherai pas.

— J’ai pleuré devant toute la classe aujourd’hui…

— Pourquoi ?

— Parce que le professeur a dit que j’avais mal fait mes devoirs… et ça m’a fait de la peine.

— Et tu crois que je devrais être en colère pour ça ?

— Les autres disent que pleurer, c’est pour les faibles. Que seuls les enfants fragiles pleurent…

— Alors écoute moi bien. Il y a deux choses très importantes que je veux que tu n’oublies jamais.

— Je t’écoute, papa.

— La première : je suis fier de toi.

Pleurer, ce n’est pas un signe de faiblesse. C’est un signe de force. De sensibilité.

Pleurer, ce n’est pas idiot. C’est humain.

Quand on pleure, c’est qu’on ressent. Qu’on est vivant.

Tu n’es pas un robot, tu es un enfant, un être plein d’émotions.

Et tu sais quoi ? Tes camarades aussi ont déjà pleuré. Même s’ils font semblant d’être forts.

Alors pleure quand tu en as besoin. N’aie jamais honte de tes larmes.

Souvent, ce sont elles qui guérissent les douleurs qu’on ne voit pas.

— Et la deuxième chose ?

— Faire des erreurs, c’est normal. Tout le monde en fait. Moi aussi. Ta maman aussi.

C’est en se trompant qu’on apprend.

On ne grandit pas en réussissant tout. On grandit en tombant… puis en se relevant.

N’aie jamais peur de rater.

Fais tes erreurs avec courage. Elles font partie du chemin.

Je ne me mettrai jamais en colère pour un devoir mal fait.

Et encore moins parce que tu as pleuré.

Tu sais pourquoi ?

Parce que je suis heureux. Heureux d’avoir un fils capable d’aimer, de sentir, de vivre.

Un enfant qui grandit sans jamais perdre sa capacité à pleurer.

Parce que ceux qui pleurent… sont ceux qui ont un cœur.

Et ceux qui osent se tromper… sont ceux qui avancent avec courage.

Alors… relève la tête, mon petit.

Et fais face à la vie. Tel que tu es. Humain. Et beau."

Source inconnue

Il est difficile d'attraper un chat noir dans une pièce sombre, surtout lorsqu'il n'y est pas.
Proverbe chinois
Chouky


   
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chouky
(@chouky)
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Auteur du sujet  
La douleur d’une mère d’enfants devenus grands est une douleur particulière.
Elle ne crie pas.
Elle ne pleure pas en public.
C’est une douleur discrète, profonde, contenue — celle qui se glisse dans les prières du soir, dans les pensées qui veillent trop tard, dans un soupir muet tandis qu’elle boit une tasse de thé, seule, dans la cuisine.
C’est une douleur qui naît quand les enfants ont grandi,
quand ils ont pris leur envol,
quand ils font leurs propres choix,
leurs propres erreurs.
Une mère voudrait courir après eux,
leur reprendre la main comme autrefois,
quand ils étaient petits et qu’elle pouvait encore les protéger du monde,
de la douleur,
des mauvais pas.
Elle voudrait crier :
« Arrête-toi ! Je sais ce qui est bon pour toi ! J’y suis déjà passée, moi ! »
Mais… elle ne peut pas.
Parce qu’il n’est plus ce petit enfant que l’on serre sous son aile.
C’est un adulte à présent.
Avec sa propre route,
son propre destin,
et ce cœur à lui,
qui apprend à travers ses propres blessures.
Et c’est bien cela, le plus douloureux :
laisser son enfant vivre sa vie.
Le laisser tomber… et se relever.
Se tromper… et comprendre.
Se taire alors qu’on voudrait crier.
Ne pas conseiller quand on voudrait tant guider.
Juste attendre.
Être là.
Prier en silence.
Envoyer de l’amour,
en pensée,
et espérer qu’il le reçoive.
Croire que tout ira bien.

Il est difficile d'attraper un chat noir dans une pièce sombre, surtout lorsqu'il n'y est pas.
Proverbe chinois
Chouky


   
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chouky
(@chouky)
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Ne fais jamais douter ta partenaire de la place qu’elle occupe dans ta vie.
Si la personne que tu aimes doit deviner où elle en est avec toi,
alors tu es déjà en train de la décevoir.
Le respect ne se trouve pas seulement dans de jolis mots…
Il se trouve dans les décisions que tu prends quand elle ne te regarde pas.
Il est dans les messages auxquels tu choisis de ne pas répondre.
Dans les invitations que tu choisis de refuser.
Dans l’honnêteté que tu conserves, même quand elle est inconfortable.
Tu ne peux pas dire que tu aimes quelqu’un tout en lui cachant des parties de ta vie.
Si ton téléphone a un mot de passe qu’elle ne peut pas connaître,
si tu as des “amitiés” qu’on ne peut pas remettre en question,
si tu fais des choses que tu ne voudrais pas qu’elle découvre…
tu n’es pas loyal, tu es égoïste.
Une relation construite sur des demi-vérités et des secrets,
c’est une mort lente déguisée.
Et chaque fois que tu laisses ton ego, tes pulsions ou la peur du conflit l’emporter,
tu lui montres que son cœur serait plus en sécurité loin de toi.
La transparence n’est pas un détail… c’est une nécessité.
Si tu aimes vraiment quelqu’un,
tu ne lui donnes pas de raisons de douter.
Tu lui offres la paix.
Parce que quand l’amour est vrai,
rien ne devrait être un secret.
Ni ton temps.
Ni tes paroles.
Ni ta loyauté.
Alors, avant de dire que tu es “engagé”,
demande-toi honnêtement…
Es-tu en train de construire un foyer avec cette personne ?
Ou seulement une cachette pour ta culpabilité ?

Il est difficile d'attraper un chat noir dans une pièce sombre, surtout lorsqu'il n'y est pas.
Proverbe chinois
Chouky


   
👋
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chouky
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Je peux encore, mon fils… même si parfois cela ne semble pas le cas.
Je peux encore marcher avec toi dans la rue, même sans destination précise.
Ne t’inquiète pas pour mon pas : si tu es à mes côtés, je me sentirai plus vivante que jamais.
Je peux encore m’asseoir à ta table un dimanche matin, pour partager un petit-déjeuner simple.
Tu n’imagines pas comme ce serait doux pour moi de te voir manger, rire, et sentir que je fais encore partie de ton monde.
Je peux encore t’écouter avec attention, si tu me parles avec tendresse.
Ne me crie pas dessus, mon fils. Ne me parle pas avec impatience.
En vieillissant, ce n’est pas tant ce qu’on nous dit qui compte… mais la manière dont on nous le dit.
Si parfois je dis des choses qui n’ont plus beaucoup de sens, ne te moque pas, ne me fais pas taire.
Ris avec moi. Prends-moi dans tes bras.
Fais-moi sentir que ma présence compte encore, que j’ai toujours quelque chose à offrir.
Ne m’écarte pas. Ne me traite pas comme si j’étais un fardeau.
Mon corps change, c’est vrai… mais mon esprit conserve des souvenirs précieux… dont beaucoup sont avec toi.
Et si tu peux, viens me voir de temps en temps.
Je ne viens rien te demander.
Je veux juste regarder ton visage, t’écouter un instant, et savoir que tu es encore là.
Ne m’enferme pas. Ne me laisse pas dans un lit comme si je ne comptais plus.
Oui, le corps fait mal parfois…
Mais ce qui fait le plus mal, c’est le silence, la distance, l’oubli.
Car l’âme, elle aussi, tombe malade quand elle ne se sent plus aimée.
 

Il est difficile d'attraper un chat noir dans une pièce sombre, surtout lorsqu'il n'y est pas.
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Chouky


   
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