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Je suis d'un optimisme radical ! Après tout je trouve qu'un verre à moitié plein c'est plus beau qu'un verre à moitié vide 😀 Mon binôme par contre à une conception toute particulière : "assumer le pire pour être préparé". Bon, du coup par moment c'est un peu épique, mais il se soigne.
Et puis comme le disait Henry Havelock Ellis, L’asile d’aliénés est l’endroit où fleurit le plus d’optimisme.
:sifle:
Hello Fred 🙂
C'est vrai que dans cette histoire de verre à moitié rempli, j'avais oublié une donnée .... la beauté du verre, je focalisais sur le contenu ... et j'ai négligé le contenant ... merci pour cette approche 🙂
je me dis que si il faut vraiment imaginer quelque chose , une suite, pourquoi imaginer le pire ? ....pourquoi pas imaginer ce qu'on veut, vraiment , ni le pire , ni le mieux , juste ce qu'on veut... quitte à se préparer .. autant que l'énergie soit créatrice parce que au moins , quoiqu'il arrive , on aura été sacrément "vivant ".. 😀
"J'ai des questions à toutes vos réponses "
W. Allen
Disons que pour ceux qui ont tendances à imaginer le pire et à verser dans le pessimisme, une méthode qui marche bien c'est "l'approche rationnelle" 🙂 En gros il suffit de se dire que c'est certes utile de pouvoir être préparé au pire, mais qu'en toute logique il faut aussi être capable d'intégrer l'opposé, à savoir une issue positive ! Ca fait une sorte de balance bienvenue 😉
Et puis comme on dit, se préparer au pire, espérer le meilleur 😉
C'est vrai on dit ça .... mais personne ne m'a jamais dit qui est ce " on" 😉
"J'ai des questions à toutes vos réponses "
W. Allen
Et puis comme on dit, se préparer au pire, espérer le meilleur 😉
C'est vrai on dit ça .... mais personne ne m'a jamais dit qui est ce " on" 😉
Ce "on", ce sont peut-être les personnes qui simplement envisagent le pire pour ne pas être déçues si le meilleur ne vient pas....
J'ai cette tendance aussi à me prédisposer au pire, mais cela ne veut pas dire que je soit profondément pescimiste !
J'essaie d'aller de l'avant ; c'est déjà une forme d'optimismie...
Le "on", ce sont les personnes qui en ont peut-être baver plus que d'autres à un certain moment, et qui se protègent de penser que seul l'optimisme va les guider vers le bon choix, la bonne route à suivre ou fait en sorte que tout dans la vie doit être en rose et violette.....
Quand la couleur change, çà fait trop mal, cet optimisme, mais l'opposé n'est pas mieux non plus....
Comme tu le dis Freditane :
En gros il suffit de se dire que c'est certes utile de pouvoir être préparé au pire, mais qu'en toute logique il faut aussi être capable d'intégrer l'opposé, à savoir une issue positive ! Ca fait une sorte de balance bienvenue 😉