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Bonjour,
Comme j'aime bien "étudier" (et que je me pose souvent des questions) sur l'esprit humain.
Dernièrement j'ai tenté de ne penser à rien, j'ai remarqué que c'était très difficile j'y arrive une ou deux secondes,.
Bizarre quand même que l'être humain à difficile de ne penser à rien, nous ne serions pas "programmé" pour ne penser à rien ?
Est est-ce que vous arrivez ne penser à rien ?
Si oui est-ce que vous y arrivez plus que quelques secondes ?
On ne peut rien apprendre aux gens. On peut seulement les aider à découvrir qu'ils possèdent déjà en eux tout ce qui est à apprendre
bonjour
non j'ai jamais essuyé....
pensé à des choses positives oui
une image qui m'apaise oui mais rien alors là je vois pas :ih-ih:
un truc noir? c'est déja une couleur :kon:
rien qu'est ce que c'est :beuh:
bon j'arrête je pense trop.....
bonne continuation dans ta recherche :allez:
l'important n'est pas de convaincre mais de donner à réfléchir...
Bonjour à tous,
Ne penser à rien :mur: oups j'y arrive pas
je ferme les yeux, ne penser à rien, bien sa alors , je pense que je ne dois pas penser :sifle:
Il est difficile d'attraper un chat noir dans une pièce sombre, surtout lorsqu'il n'y est pas.
Proverbe chinois
Chouky
Oui en effet si l'on décide de ne penser a rien c'est a ce moment là que l'on pense a tout lol
En fait ne penser a rien devrait être un objectif, une finalité, donc il faut un peu de temps avant d'y arriver.
En hypnose on dit "Ne penser surtout pas a un éléphant rose" et clac tout le monde vient d'y penser, par contre par après on sait ne plus y penser.
C'est pour cela que cela doit être un objectif et pas une action directe.
Pas évident ce truc hein !!
On ne peut rien apprendre aux gens. On peut seulement les aider à découvrir qu'ils possèdent déjà en eux tout ce qui est à apprendre
un article de science et vie
5 juillet 2015
“En neurosciences, toutes les activités cérébrales sont des pensées.
“En neurosciences, toutes les activités cérébrales sont des pensées. Qu’on soit en phase de sommeil, dans le coma ou éveillé, le cerveau est en activité, donc produit des pensées. Il peut moduler son activité, mais ne s’arrête jamais. En fait, le seul moment où on ne pense pas, c’est quand on est mort”, explique Bernard Mazoyer, spécialiste de neuro-imagerie cognitive à l’université de Caen. Je suis, donc je pense, en somme !
Cela dit, tout dépend de ce que vous aviez en tête en utilisant le terme “penser”. Les neuroscientifiques, eux, parlent plus souvent de processus d’imagerie mentale (visuelle, auditive, langagière, motrice…) et différencient les images conscientes des images spontanées.
Penser à rien sollicite un “réseau par défaut”
S’il s’agit pour vous aussi de savoir si, en état d’éveil, certaines images mentales peuvent ne pas atteindre le champ de la conscience, il est indéniable que c’est le cas. Il suffit que notre cerveau ne soit pas accaparé par un objectif précis pour que des pensées spontanées s’y produisent, mais sans nécessairement toutes accéder à la conscience. Sans compter que l’accès à la conscience peut être modulé, par exemple par l’hypnose ou la méditation. Mais même cette dernière ne permet pas, contrairement aux idées reçues, de se vider la tête : “La méditation est la forme de pensée la plus contrôlée qui soit, celle qui consiste à se focaliser sur un type unique de pensée”, affirme Bernard Mazoyer.
Il semblerait donc que même quand on a l’impression de ne “penser à rien”, on pense quand même. Sauf que nos
rêveries ne sollicitent pas la même zone du cerveau que la réflexion consciente. On le sait depuis l’avancée des techniques de neuro-imagerie des années 1990, grâce notamment à l’IRM fonctionnelle qui permet de visualiser les aires cérébrales qui s’activent ou se désactivent dans une situation mentale donnée, explique Jean-Philippe Lachaux, chercheur à l’Inserm : “Quand on ne fait rien de précis, c’est un ensemble de zones réparties dans les lobes frontal et pariétal qui est le plus actif, on l’appelle le réseau par défaut.”
Plutôt que penser, vagabonder
Ce réseau qui gère nos pensées spontanées est encore mal connu, mais plusieurs études scientifiques récentes ont montré que le vagabondage mental (daydreaming), qui peut occuper jusqu’au tiers de notre temps d’éveil, stimule la créativité car le réseau par défaut aurait tendance à provoquer des associations inédites entre les neurones.
S.O.
l'important n'est pas de convaincre mais de donner à réfléchir...
Merci Ema, en fait je sais ce que dit les neuroscience a ce propos, même si j'aime leur recherche, elles sont loin d'avoir tout compris de notre fonctionnement.
A tord ou a raison ils mélangent l'inconscient et le conscient, alors bien sur si on prend l'inconscient en compte, difficile de ne penser à rien, par contre si on prend uniquement la partie consciente, là je pense que c'est bien possible.
Je suis, donc je pense, en somme !
Aie le monsieur n'a pas du comprendre cette phrase de Descartes...
Descartes a voulu douter de tout, se plaçant ainsi dans aucune certitude, il s'est demandé comment il pouvait prouver qu'il existait.
C'est à ce moment là qu'il s'est dit "Je pense, donc je suis" donc il a su se prouver que parce qu'il pensait il existait, l'inverse n'est pas forcement vrai.
https://la-philosophie.com/descartes-je-pense-donc-je-suis
Je suis un humain (en vie), donc je suis vivant !
si j'inverse
Je suis vivant donc je suis un humain (en vie) (ben non les plantes et animaux sont aussi vivant)
On ne peut rien apprendre aux gens. On peut seulement les aider à découvrir qu'ils possèdent déjà en eux tout ce qui est à apprendre
chuttt
j essai de ne penser à rien 😉
l'important n'est pas de convaincre mais de donner à réfléchir...
Lol Ema, et alors cela a marché :ih-ih:
Pas facile hein :sifle:
On ne peut rien apprendre aux gens. On peut seulement les aider à découvrir qu'ils possèdent déjà en eux tout ce qui est à apprendre
penser au vide crotte j ai le vertige :ih-ih:
faire le vide mes colombes qui chantent :kon:
j'ai juste fait une sieste :ih-ih: :ih-ih:
bon on va dire que c'est pas mon truc :ih-ih: :ih-ih:
l'important n'est pas de convaincre mais de donner à réfléchir...
Je me suis imaginé en plein milieu de l'univers, il fait noir et il n'y a rien.
Je teste parfois au moment d'aller dormir, mais pas facile, y'a toujours une pensée consciente ppffff
Ouais comme tu dis le moindre bruit et hop on saute dessus...
On ne peut rien apprendre aux gens. On peut seulement les aider à découvrir qu'ils possèdent déjà en eux tout ce qui est à apprendre
Même quand on a envie de penser à quelque chose de précis, il arrive qu'on ne pense à rien.
Si, si, si...
Ne me prenez pas pour un type contrariant. :mur:
Je m'explique.
Quand j'étais petit (figurez vous que j'ai été encore plus jeune que maintenant, est-ce possible ?) j'étais intrigué par l'endormissement et au lit je guettais ce moment que je voulais vivre consciemment.
A chaque réveil j'étais frustré de n'avoir pas pu assister à cela.
C'est donc bien la preuve qu'il arrive de ne penser à rien.
CQFD.
😉
Lennon et Lénine, c'est ce qui me fascine
Et ce qui me façonne, c'est Lénine et Lennon.
Oui tu as tout à fait raison car c'est cela qu'il se passe, on appelle cela la phase hypnagogique.
Le hic comme tu le décris c'est que garder cette phase est presque impossible, car soit on se réveille soit, on s'endort....
Ce que j'aimerai faire est donc de rester quelque moment (donc conscient) dans cet état et là c'est assez compliqué.
On ne peut rien apprendre aux gens. On peut seulement les aider à découvrir qu'ils possèdent déjà en eux tout ce qui est à apprendre
Je suis bien incapable de ne penser à rien, mon cerveau est malheureusement toujours en action